BIENVENUE SUR LE SITE DES TERMINALES L2A ET L2B DU LYCEE DE CABROUSSE
     Accueil
     TL2A
     TL2B
     => ALLEMAGNE
     => U.E l'Europe des 27
     Coef en terminale
     GUIDE bac
     Contact
     INFOS
     Pages cachées
     Galerie
     Epreuves devoir et bac

LYCEE DE CABROUSSE


expohg - TL2B


   

 

 

 TL2B

 

 

 

                                                                    EXPOSANTS :

                                  

                                   CHANTAL DIATTA

                                   RAMATOULAYE DIALLO

                                   EMILIA DIATTA

                                   BASSIROU NDIAYE

                                   MICHAEL BOSSY

THEM : La Question De L’eau Au Sénégal

                                PLAN

INTRODUCTION

I)-LES DE  RESSOURCES EN EAUX MULTIFORME

      1)-LA PLUVIOMETRIE

      2)-LE POTANTIEL HYDRIQUE ET PRECIPITATIONS

      3)-DES EAUX DE SURFACE INEGALEMENT REPARTIES

      4)-DES EAUX SOUTERRAINES ABONDANTES

II)-LES DIFFICULTES DE MAITRISE DE L’EAU, BILAN ET SOLUTIONS

       1)-LES CONTRAINTES LIMITANT LA DISPONIBLITE DE L’EAU

          2)-UN BILAN DEFICITAIRE

           3)-DES STRATEGIES MULTIPLES DE RESOLUTION DE L’EQUATION DE L’EAU

                            CONCLUSION

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LA QUESTTION DE L’EAU AU SENEGAL

 

 

 INTRODUCTION 

 L’or bleu autrement dit l’eau et l’or noir à savoir le pétrole constituent des enjeux majeurs du développement et sont sources de nombreux conflits au 21e siècle. Le Sénégal, pays essentiellement sahélien, est donc confronté au problème de maitrise des ressources hydrauliques pour la satisfaction des besoins de sa population et de son économie.

Alors, est-il important d’inventorier les principales ressources hydrauliques nationales, d’analyser ensuite les différentes contraintes liées à la disponibilité de l’eau pour enfin dresser le bilan et les solutions initiées dans le cadre de la politique nationale de l’eau.

I)- DES RESSOURCES  EN EAU MULTIFORMES

1)-La pluviométrie

La pluviométrie par son importance et sa répartition, est le premier élément dot dépend la question de l’eau. La quantité d’eau qui tombe au Sénégal vaut entre 300mm et 500mm/ans et le nombre de jour de pluie est entre 20 et 25 jours. La pluie varie en fonction de la latitude et les quantité diminues du sud au nord.                                                                                           Ainsi, la moitié septentrionale connait   un déficit persistant.

2)- Le potentiel hydrique des précipitations      

    Le Sénégal bénéficie de précipitations annuelles très variables dans l’espace et dans le temps. Elles diminuent sensiblement du Sud vers le Nord du pays. Ces pluies alimentent les cours d’eau et les nappes souterraines. Elles permettent également la pratique des cultures pluviales dans la quasi-totalité du territoire national.  Mais, le caractère aléatoire des précipitations annuelles mais aussi l’importance de l’évaporation et des infiltrations expliquent que dans plusieurs régions ces précipitations ne couvrent pas les besoins immenses en eau des populations.

3)- Des eaux de surface inégalement réparties

En plus d’une façade atlantique de près de 700 km de côte, le Sénégal dispose un réseau hydrographique plus ou varié. Il s’agit du fleuve Sénégal au Nord et à l’Est, de la Falémé, de la Gambie, de la Casamance mais aussi des rivières comme le Doué, des lacs comme le lac de Guiers, entre autres.  On remarque que le Nord et le Sud du pays ont des cours d’eau douce à écoulement pérenne alors que les régions centrales sont aréiques.           

4)- Des eaux souterraines abondantes

        Le sous sénégalais est riche en ressources hydrogéologiques. Ainsi, on distingue les nappes phréatiques peu profondes, les nappes du Continental terminal un peu plus profondes, atteintes par les forages entre 30 et 100m et les nappes maestrichtiennes entre 100 et 400 m de profondeur. Ces nappes d’un taux de salinité élevé posent de sérieux problèmes de santé publique principalement dans le bassin arachidier.

              En somme, les précipitations, les eaux de surface et celles des nappes souterraines constituent d’abondantes réserves hydrauliques pour le pays capables de répondre aux besoins des populations pour plusieurs siècles. Toutefois, leur exploitation efficiente bute sur des contraintes variées et appelle une politique de recherche de solutions

II)-LES DIFFICULTES DE MAITRISE DE L’EAU, BILAN ET  SOLUTIONS

1)- Les contraintes limitant la disponibilité de l’eau

        La disponibilité de l’eau  pour les besoins de consommation et des activités économiques (agriculture et industries) est perturbée de diverses manières.

        Tout d’abord, on note des problèmes de conservation imputables à l’évaporation liée à une insolation très forte surtout en saison sèche, à l’infiltration et à l’écoulement en direction des cours d’eau et de l’océan.

         Ensuite, la sècheresse climatique de plus en plus récurrente dans les pays sahéliens et avec elle la désertification ont engendré l’assèchement de certains cours d’eau comme les vallées fossiles du Ferlo.

        Enfin, la non maitrise de l’eau résulte aussi de difficultés techniques et financières. Ainsi, la pauvreté du pays et sa dépendance technologique handicapent une exploitation optimale et judicieuse des ressources hydrauliques nationales exigeant des moyens financiers importants.

2)- Un bilan déficitaire

        Le bilan des besoins en eau et des disponibilités est globalement déficitaire. Toutefois, aussi bien pour la consommation que pour les activités économiques, ce bilan varie d’une situation excédentaire dans la vallée du fleuve Sénégal et en Casamance à une situation déficitaire dans les régions éloignées des  bassins fluviaux. Ainsi, s’expliquent les problèmes d’accès à l’eau dans la plupart des villes sénégalaises. De même, pour les professionnels, les demandes en eau ne sont pas toujours satisfaites aussi bien dans l’agriculture que dans l’’industrie.

3)-Des stratégies multiples de résolution de l’équation de l’eau

       L’Etat sénégalais, pour répondre aux besoins sans cesse croissants des citadins et des ruraux a réalisé d’importants ouvrages. Il s’agit un système d’adduction d’eau potable reliant le lac de GUIERS aux villes occidentales du pays et principalement à la capitale mais aussi de plusieurs puits et forages édifiés partout dans l’espace national.

       En outre, dans le cadre de l’intégration régionale, au sein de l’OMVS, un barrage de production d’hydroélectricité à Manantali au Mali et un barrage anti sel à Diama au Sénégal sont déjà fonctionnels. Ces ouvrages visent la régularisation du cours du fleuve pour assurer les transports fluviaux et permettre l’exploitation optimale des terres fertiles de la vallée tout en diminuant la dépendance énergétique des pays membres.

          Toujours, dans sa volonté d’accroitre le potentiel précipité et de lutter contre les déperditions d’eau par les infiltrations et l’évaporation, l’Etat a mis sur pied le programme de pluies provoquées (ou pluies artificielles) en collaboration avec le Maroc (programme « Bawnaan ») et le programme des bassins de rétention des eaux pluviales qui couvrent désormais une bonne partie du territoire.

                                      CONCLUSION :                                                                                                                   Le Sénégal dispose de ressources hydrauliques variées, certes abondantes, mais les besoins restent insatisfaits pour des raisons multiples en particulier des déficiences financières et technologiques lourdes. Face à la demande pressante des ménages, des agriculteurs et des industriels, l’Etat cherche, dans le cadre d’une politique globale de développement, à résoudre ce problème épineux de l’eau par le biais de programmes  nationaux et régionaux ambitieux.

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

INTRODUCTION

Pays sahélien situé dans la partie la plus occidentale de l’Afrique, le Sénégal à une superficie de 196.722Km². Sa population est estimée à environ 14,3 millions d’habitants dont environ 40,3% habitent dans des zones urbaines selon le dernier recensement de 2013. 

I°) LES PROBLEMES ECONOMIQUE

1°) Les  problèmes de l’agriculture

L’agriculture sénégalaise est dominée par les cultures commercial (arachide, coton,) ce que traduit par une dépendance alimentaire des sénégalais qui se nourrissent essentiellement de riz. De ce fait, le Sénégal est obligé d’importer plus de 400.000T de riz pour satisfaire les besoins de sa population. La monoculture  arachidière entraine aussi l’appauvrissement des sols. A ces problèmes nous pouvons ajouter le caractère rudimentaire des outils utilisés  par les paysans, la dépense par rapport à la pluviométrie l’absence de  structure  d’encadrement des paysans qui sont dans leurs grandes majorités analphabètes

2°) Les problèmes de la  pêche

La pêche constitue la principale vise du SENEGAL. Mais elle connait plusieurs problèmes comme la sur exploitation qui entraine l’épuisement de ressources et de la dégradation marin par pollution. Il y a aussi des manquements liés à la formation et à l’encadrement des pêcheurs par rapport au technique nouvel.                                                                                                                                                                      3°) les problèmes de l’industrie

Les problèmes de l’industrie SENEGALAISE sont :

_La faiblesse des ressources naturelles, la forte dépendance énergétique,

_La faiblesse des investissements industriels,

_La consommation national tourné vers les productions étrangère,

_La forte concentration géographique  et financier  en faveur de DAKAR 80% des entreprises sont inscris dans les prés ile des caps verts.

4°) les problèmes du tourisme

On peut noter :

_le cout élevé des transports aériens

_la saisonnalité du tourisme SENEGALAISE (tourisme d’hiver)  et sa forte dépendance du marché EUROPEEN.

_cout élevé de la fixa lité (impôt et taxe), foncier et la construction de  l’électricité et de l’eau etc.

_le niveau très élevé de la mendicité et dans une certaine mesure de l’insécurité,

_les problèmes conjectural (ponctuels) : les visas pour touriste et le virus Ébola.

II°) Les politiques de développement

Le SENEGAL qui compte parmi les pays les plus stables d’AFRIQUE, a considérablement renforcé ses institutions démocratiques depuis son indépendance en 1960.Il a connu trois alternances politiques pacifique et quatre président : LEOPOLD SEDAR SENGHOR (1960-1980), ABDOU DIOUF (1981-2000), ABDOULAYE WADE (2000-2012) et depuis mars 2012 MACKY SALL. Pour remédier des différents problèmes économiques l’ETAT ont entrepris des politiques de développement :

1°) les politiques d’interventionniste de (1960-1980)

Dès l’accession à la souveraineté le gouvernement sénégalais s’attelait à la mise en place de politique de développement capable de gérer le pays.

Ainsi le premier gouvernement du pays d’obsidienne socialiste a élaboré plusieurs programmes. Une intervention de l’état dans la construction économique. C’est ainsi que dans le secteur agricole le gouvernement entreprendra des vocations de coopérative agricole et de structure d’encadrement du monde rural comme l’OCA (Office de Commercialisation Agricole) et la SODEVA (Société de Développement et de Vulgarisions).

Dans le domaine industriel l’état accord ses accession dans certaines sociétés et participe au capital des banques exemple : la BICIS (Banque Internationale pour le Commerce et l’Industrie du Sénégal).

2°) LE DESENGAGEMENT DE L’ETAT : LES POLITIQUE D’AJUSTEMENT STRUCTURE DES ANNEES 80

Malgré tous ces efforts, cette politique interventionniste fut un échec. Pire elle aurait entrainé l’accroissement des dettes extérieur qui atteindra (un million six cent cinq million de dollars) entre 1992 et 1983.

En conséquent il était impératif pour les autorités a des ajustements culturels sous la supervision des bailleurs de fonds international.

Ainsi l’état se désengage et met en place deux nouvelles politiques agricoles, industrielles. Une fois de plus cette politique fut un échec et même un vrai fiasco car les

Ajustements ont entrainé les délaissements par l’état le secteur vitaux comme l’éducation, la formation, la sante.

Cela va plonger le pays dans une grande crise sociale. Cette situation sera grave par la dévaluation du franc (communauté financière africaine) à partir de 1994.

3°) LA NOUVELLE STRATEGIE DE REDUCTION DE LA PAUVRETE (2002-2010)

En septembre 1999 le FMI et la banque mondial mettent à la disposition du Sénégal un document de stratégie pour la réduction de la pauvreté (DSRP) ce document considéré que les acteurs du développement sont : l’ETAT, le secteur privé, la société civile, les partenaires au développement, les collectivités locales tous pour le développement.

Tous ces acteurs doivent travailler en synergies pour réaliser les objectifs de développement :

_création de richesse par la mise en place d’infrastructure de transport et des politique  capable d’augmenté la croissance économiques

_assuré une meilleur protection sociale et une meilleur prévention des catastrophes naturelles

_une bonne gouvernance à travers une politique de

 

4°) LE PLAN SENEGAL EMERGEANT (PSE) (2014-2035)

C’est la nouvelle stratégie de développement défini pour la période 2014-2035. Il comprend trois axes:

*Transformation structurelle de l’économie et de la croissance

*Capitale humain, protection social et développement durable,

*Gouvernance, institution, paix et sécurité

Sa mise en œuvre doit se faire en trois phases :

_Une phase de décollage économique 2014-2018

_Une dynamique d’émergence à l’horizon 2023(2018-2023)

_Une phase d’expansion 2023-2035.

CONCLUSION

Le Sénégal est confronté à des problèmes économiques qui empêchent son décollage. Depuis son indépendance jusqu’à nos jours les efforts sont entrepris pour apporter à des correctifs à ses incohérences structurelles mais les résultats tardent à se concrétisés. Actuelles de nouvelles voix de développement sont entrains d’être décentralisé qui vise une plus grande implication de population dans le processus de prise de décision un développement plus harmonieux.

 

 

 

REPUBLIQUE DU SENEGA                                      SOUS LA DIRECTION DE M.DANFA

LYCEE DE CABROUSSE                                                ANNEE ACADEMIQUE : 2015-2016

CLASSE DE TL2B

THEME

LES PROBLEMES ECONOMIQUES ET LES POLITIQUES DE DEVELOPPEMENT DU SENEGAL

PRESENTE PAR :

KHADIDIATOU DIALLO

BANNA GOUDIABY

DABA DITE SATOU SECK

FRANCOISE AGNANKEKENE DIATTA

AIDA DIARRA

PLAN

INTRODUCTION

I°) LES PROBLEMES ECONOMIQUES

1°) les problèmes de l’agriculture

2°) les problèmes de la pêche

3°) les problèmes de l’industrie

4°) les problèmes du tourisme

II°) LES POLITIQUES DE DEVELOPPEMENT

1°) les politiques interventionniste de 1960 à 1980    

 2°) le désengagement de l’état : les politiques d’ajustement, structure des années 80

3°) la nouvelle stratégie de réduction de pauvreté (2000-2010)

4°) le plan Sénégal émergent (PSE)  2014 -2035

CONCLUSION

 

 

 

 

 

 

Aujourd'hui sont déjà 2 visiteurs (2 hits) Ici!

 

INFOS

 

Haut du formulaire

Comment trouvez-vous ce site ?

Excellent

Trés Bien

Pas Mal

Moyen

Incomplet

decevant

Raté

Horrible !


(
Afficher le résultat)

Bas du formulaire

 

 

Publicité

 

 

 

 

Aujourd'hui sont déjà 6 visiteurs (9 hits) Ici!

BONNE CHANCE POUR LE BAC
LA RÉUSSITE EST AU BOUT DE L'EFFORT
MERCI POUR VOTRE VISITE Ce site web a été créé gratuitement avec Ma-page.fr. Tu veux aussi ton propre site web ?
S'inscrire gratuitement